Ce recueil de poésie publie des poèmes sur la tristesse et le désespoir. Des textes courts et résistants qui demandent une lecture attentive.
Exprimez votre tristesse en poésie et découvrez ces poèmes. Peine et douleur, souffrance et solitude. Ces poèmes résument la tristesse d'un amour perdu.
Poèmes et poésies tristes :
![]() |
Des larmes de désespoir, la douleur d'une tristesse qui pleure ! |
Tristesse :
Tristesse tu t'empares de moi
L’ennuis me ronge
Alors, a vous je songe
Mon sourire c’est dissipé
A l’heure ou je vous écris,
Un voile terne recouvre ma vie
Pourquoi ce soir mon cœur est si pesant ?
Errante, comme une âme en peine
Je voudrais trouver une écoute, histoire de vidé mon cœur
Essayer de comprendre pourquoi cette lassitude
Mon corps est lourd de questions
Mon esprit est embué cherchant les réponses
Dans le silence pesant,
Serais-je triste ?
L'amitié est absente, aucune main tendue
En ce soir de déprime, pas d'aide attendue!
Enfouir en mon cœur, les désillusions, le mal être
Ma page est abcès, il me faut l'admettre.
Un voile recouvre ma vie si blême
Solitude dans le vide de mes pensées
Criant ma peine par des larmes muettes
Défiant la haine des heures néfastes
Chercher en vain une issue à l'ennui
Seule du matin au soir avec une musique mélancolique
Rythmant mon chagrin sur la page déjà blanchi
Ecrire….écrire…..écrire….
Coucher mes rancœurs comme un remède fantastique
Trouver une écoute,
Essayer de comprendre pourquoi cette lassitude
© Mariejose Tanesie
✰ A ne pas manquer ces : citations sur la tristesse ainsi que nos poèmes et citations sur la déception amoureuse.
Poème triste : Ma peine et ma souffrance
Douleur, peine et souffrance : Peut-être que la peur, l'ambition peuvent par leur angoisse aride recouvrir ma triste passion. Merci pour la peine !
![]() |
Souffrance : Poèmes tristes. |
LARMES :
Qu'elle est cette tristesse qui soudain m'envahit,
les larmes se bousculent derrière leur paravent,
elles transforment le ciel en un prisme ébahi,
tout me semble entouré d'un halo de tourment !
Et ma gorge se serre, comme pour étouffer
la clameur que mon cœur peine à arrêter,
elle, qui vient de loin, lui fait accélérer
le rythme des battements du moteur malmené !
C'est le manque de toi qui grippe la machine,
tu es son carburant, oui, son adrénaline.
Sans toi, je tourne en rond, sans repère et sans but,
comme un boxeur sonné par un bon uppercut.
Serras-tu le sauveur qui viendra empêcher
que ce flot de douleur vienne me submerger,
que je reste au tapis, ne puisse me relever,
m'enfonce dans ce lit, solitaire et cassée ?
Me tendras-tu la main, seras-tu la bouée,
qui viendra me sauver de ce vil marécage,
qu'est la vie sans amour, sans un bon point d'ancrage,
sans un port où rentrer, et le calme, trouver ?
Je t'appelle et ce cri, celui-là, je l'assume.
Je veux qu'il te parvienne, oui, au delà des brumes,
que telle la sirène, mon doux chant t'hypnotise,
et que, vaille que vaille, vers moi, te canalise.
© Chantal FRUIT
- Vous aimerez sans doute lire : Poèmes d'Espoir et Poésie du Bonheur.
A mon frère disparu :
Regard par les larmes encore troublé, blessures toujours pas refermées, voilà déjà bien des années que je pleure...
Regard par les larmes encore troublé,
Blessures toujours pas refermées,
Voilà déjà bien des années que je pleure,
Tentant seul de survivre à ce malheur.
Dans ce monde des vivants; je sombre,
Pleurant sur la tombe d'un frère mort,
Ou sous cette dalle tu reposes à l'ombre,
De ces années volées naissent nos remords.
Tu n'es plus que l'ombre de toi même,
Disparu à jamais toi mon frère aîné,
Me laissant seul face à moi-même,
Ce frère censé dans la vie m'aiguiller.
Je souffre en silence de ton absence,
Chaque jour tu hantes mon esprit,
Ses joies partagées, souvenirs d'enfance,
Ce frère aîné symbole de ma vie.
Je meurs en silence, mais tu resteras :
Mon rayon de soleil en ces jours de pluie,
Cette lumière éblouissante en ces jours si gris,
Souvenir à jamais de ton passage… ici-bas.
© Poème de Maxalexis
- À découvrir aussi : Les beaux poèmes sur Adieu
Tristesse : Tes mots d'amour qui me manquent
Remède au désespoir lorsque tout semble si ombre, de tes mots d'amour qui me manquent ; je sombre !
Je meurs en silence sans moindre mots de ton absence,
Sombrant inlassablement au plus profond du néant,
Remède au désespoir lorsque tout semble si ombre,
De tes mots d'amour qui me manquent, je sombre !
Ô j'écris, hélas, tous ces mots, pleins de remords,
De malheureux mots qui me rongent, me dévorent !
Mes états d'âmes ainsi publiés, qui vacillent et pleurent,
De tes rejets accumulés ; qui brisent mon coeur.
Me voilà perdu aujourd'hui, dans cette sublime poésie,
Seule capable d'embellir de ses vers ma vie.
Mais un jour sera, le retour attendu si terrible,
Mon bonheur revivra aux grands yeux du possible.
La vie n'est qu'espoir, je souhaite ainsi tant y croire !
Réapprendre ce désir d'aimer ; te fuir et aussi t'oublier,
Douceur de tes lèvres si douces ; morsures trop sévères,
D'une aussi jolie frimousse ; me restent tes goûts amers.
© Poème de Maxalexis
- A lire aussi : Tu me manques : SMS & Textos.
MA SOLITUDE :
Je me sens inutile
Perdu, abandonné
Seul s'assise devant le clavier
C’est à mourir, à pleuré.
Sans un pour me soulager
Personne pour m’aider
Je me situe dans une tragédie,
Déplorant la vie que j’ai eu.
J’aimerais voir ton sourire
Dans mes soirées pour me guider.
Ne plus être dans la ligne de mire
De toutes ces tristesses,
Me sentir abandonner.
Je voudrais juste pouvoir donner
De l’amour autour de moi,
Au lieu de dépenser mon énergie,
A ressassé mon passé
Dans cette complainte déchirante,
Qui souvent me hante.
Mes jour sont tous les mêmes
Faits d’ennuis et de peine
Quelqu’un entendra t’il ma détresse accablante
Ma vie est noire
Et je n’y vois que désespoir..
© Mariejose Tanesie
Reviens :
Quand tu t'en vas
Tout est triste
Et rien ne va
Triste est la piste
Triste est chez moi
Tout est en larmes
Tout est émoi
Rien que toi
Me rends ma joie
Et sans toi
La tristesse s'empare de moi
Mes journées ténébreuses
Mes lunes odieuses
Tout est noir
Tout est laid
Du matin au soir
La mélancolie est reine
Et plein de plaies
Teintent mes veines
Et plein de souffrances
Et plein de remords
Me prennent au cœur
Reviens vite alors
Efface mes chagrins
Reviens c'est l'heure
De me donner ma tétée
C'est l'heure de me chanter
Sinon je crève
Çà c'est sur
Ton absence est dure
Et me fausse mes rêves
Reviens tout de suite chérie...
© Inokane
Lettre à un ange :
Il y a quarante et une années tu naissais, mon bébé.
Tu es ma chair, tu es mon sang, tu es mon cœur, tu es mon âme;
tu es tout ce que je suis et je suis tout ce que tu es.
Je souris lorsque tu souris et pleure lorsque tu pleures,
je suis en colère lorsque tu es en colère et souffre lorsque tu souffres.
Quarante et un ans...
Et dès les premiers instants on me confia que tu serais différente,
que ce ne serait pas facile tous les jours...
... La suite sur : Lettre d'anniversaire à un ange.
... La suite sur : Lettre d'anniversaire à un ange.
Seule la tristesse :
Nous a ouvert sans restriction ni conditions
Ses larges portes
Nous qui avons porté dans notre sang
Ce que porte habituellement l’étranger dans ses valises :
Une blessure confirmant son identité et la date de son décès
© Maya Sabah. Poétesse syrienne résidant à Baghdâd
- Vous aimerez sans doute lire : Cœur Naufragé, Poème tristesse : Toi, tu n'as rien vu, Il pleut dans mon cœur, Poèmes et poésie sur la vie.
Ta photo accrochée au mur semble ce soir me narguer,
RépondreSupprimerTon sourire me donne envie de pleurer.
« Joyeux anniversaire » sembles-tu me dire,
Alors qu’en ces lieux, ne subsiste que le pire.
J’en ai pris pour perpette, je vieillirais ici,
Dans le fond, je m’en fiche ma vie n’est qu’en sursis.
Emmuré dans cette cellule, ce broyeur d’espérance,
Chaque rêve, chaque éveil m’est devenu nuisance.
« Parloir ! »
Les verrous claquent ! ... ce ne sont pas ceux de ma cellule.
Dix ans sans te revoir, existence morne, nulle !
Dix ans, dix trop longues années,
Minutes et secondes qui ne veulent passer.
Attente d’un sourire, d’un peu de tendresse, d’une main tendue...
Mais c’est toujours la mort qui tend ses doigts fourchus !
A petits pas, jour après jour, grillent mes cellules grises
A petites crises, jour après jours je le sens, je lâche prise.
J’habite maintenant dans un pays maudit empli de puanteur,
J’habite une drôle de cage ou tout n’est que laideur.
Soudain une larme coule sur ma joue,
Et sa saveur salée se pose sur mes lèvres.
Devant moi ton visage encore un peu flou,
Tremblote quelques instants, quelques minutes trop brèves.
Personne ne peut comprendre à quel point je t’aimais,
Personne ne peut comprendre à quel point tu comptais,
Personne ne peut comprendre pourquoi ... Je t’ai tué !
La tristesse est aussi un poème que je vis en silence.
RépondreSupprimer